
Fig. A. Trophée de corne-cul.
[kòrnekyl] (adj. comp. OLÉ)
Bien avant que Guy Lux ne lâche les vachettes dans les arènes improvisées de villes en mal de notoriété désirant en découdre pour montrer que c’est-ici-qu’on-a-la-plus-grosse-et-pas-chez-les-pécores-d’en-face¹, les cornes embrochaient les séants des prétentieux ridicules s’imaginant plus virils qu’un toro de lidia, permettant ce faisant à la langue moqueuse de se doter de corne-cul.










