[de dèrjèr lé faɡo] (loc. adv. OIGN.)
Autant le suranné sait être rustique à souhait avec par exemple en toucher une sans faire bouger l’autre ou encore péter dans la soie, autant peut-il aussi porter au firmament de sa syntaxe des formes élaborées voire même sophistiquées.
Sa langue a donc pris garde de se doter d’une formule digne du pinacle auquel, parfois, il vouera une action, une recette, un vin, enfin bref une importance de la vie.