[dèrnjèr stasjô avâ lotorut] (signal. A6)
La belle infrastructure autoroutière qui jalonne les monts et vaux de France n’a pas toujours été aussi dense que le moderne voyageur qui traverse le pays pourrait le croire. Il était une époque désormais surannée où le ruban à plusieurs voies, glissières de sécurité et aires de repos tous les dix kilomètres, ne reliait que quelques préfectures régionales à notre grande capitale. C’était le temps où l’on utilisait les routes nationales pour partir en vacances et pour rejoindre un moment ou un autre la pratique autoroute car elle savait comment aller vers le soleil puisqu’elle en portait même le nom.










