[bwar ân‿ an] (exp. anim. VIN.)
Si une sagesse proverbiale dénigrant le têtu professe qu’on « ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif » (vous noterez cependant que l’animal est chargé de bien des défauts en sus de son bât car ni la souris ni l’éléphant déjà désaltérés n’y reviendraient eux non plus), une erreur trop souvent commise fait de boire en âne l’expression s’appliquant au bruyant s’abreuvant.