
Fig. A. Des chanteurs de Mexico.
[Sâté la pérònèl] (loc. dépréc. BÊT.)
Bien entendu qu’on a chanté les Parisiennes, leur petit nez et leurs chapeaux. Et plus d’une fois. Évidemment qu’on a chanté les Madrilènes qui vont aux arènes pour le toréro. Tout comme les Norvégiennes, filles du Nord qui ont le sang chaud¹.


[atrapé la kö dy mikè] (loc. verb. ©DISNEY)






