
Fig. A. Fenêtre à la française, rideau de voile léger.
[avwar le rido kwêsé dâ la fenètr] (loc. verb. arg. DECO.)
La caractéristique numéro un du langage suranné est évidemment qu’il n’est plus guère usité. Cela est entendu. Mais il en est une autre qui est celle de sa saveur, truculente, bien souvent cause de sa désuétude.
C’est qu’il faut l’assumer l’image surgie de derrière les fagots, c’est qu’il faut la porter la catachrèse tout en argot, c’est qu’il faut la sortir la métaphore d’Aubervilliers ou d’ailleurs.










