
Fig. A. « Tu m’en bouches un coin ».
[â buSé ê kwê] (loc. surpr. BÛCH.)
De coi à coin il n’est qu’un « n » et les plus audacieux en explications orthographiques n’hésiteront pas à en faire des tartines pour tenter de prouver que la stupéfaction du coi est la forme policée de celui à qui on en a bouché un coin.