
Fig. A. Un bonbon = une peau de zibeline.
[kute bɔ̃bɔ̃] (loc. verb. CONFIS.)
C‘est l’une des plus vieilles expressions surannées.
Pour aider le lecteur à la situer dans les temps improbables où elle est née, signalons qu’elle est liée à l’économie de troc, quand un marcassin valait une fourrure de zibeline, quand une gravure sur la roche s’échangeait contre de la racine de manioc (si l’auroch était bien dessiné).





