
Fig. A. Berniques et divers coquillages. Plage de Cassis. Collec. privée.
[bèrnik] (exp. adv. COQUIL.)
Très complexe d’usage, il est probable que le mot suranné que voici ait disparu par grande méconnaissance de ses cas d’employabilité.Il faut dire qu’avec son homonyme gastéropode prosobranche, coquillage comestible vivant dans la zone de balancement des marées, il partait avec un certain handicap. Au temps du suranné on savait cependant le placer (notamment en normando-picard, eh oui !) là où la modernité a préféré renoncer à l’utiliser.









