
Fig. A. Loufiat et limonade.
[fɛʁ muse la limonad] (loc. bistr. BOISS.)
Dans la vie il est des choses qu’on ne peut pas forcer, c’est ainsi. Sauf à passer pour un hardi.

Fig. A. Loufiat et limonade.
Dans la vie il est des choses qu’on ne peut pas forcer, c’est ainsi. Sauf à passer pour un hardi.

Fig. A. Bel homme.
Deux choses font tourner la tête et briller les prunelles : la plastique (du minois) et le plastique (de la carte de crédit).

Fig. A. Quand les prix s’envolent.
Furent des temps et lieux où tout se négociait, où le marchandage était un art et où le prix d’une denrée, d’un service ou d’un privilège n’était jamais totalement fixé avant qu’on ne l’ait âprement débattu.

Fig. A. Quand la croisière s’amuse.
On peut faire le mur, le trottoir, la moue, le mariole, mais faire le marin malgré soi c’est une autre paire de manches à rayures. Et pourtant, c’est ce qui arrive au naïf, au crédule, au Bisounours de service quand on le mène en bateau.

Fig. A. Tableau de Wagner dans la vitrine de la galerie Romi, Robert Doisneau.
Parfois poésie, lubricité contenue et galanterie gros sabots décident de travailler ensemble afin de fournir au langage une formule à double fond : attention un sens peut en cacher un autre.

Fig. A. Type ayant remis 10 balles dans le juke-box.
Il fut un temps (que les moins de vingt ne peuvent pas connaître-euh) où on ne lançait pas une playlist depuis son smartphone pour écouter de la musique en public.