Avoir la coloquinte en bringues [avwar la kòlòkêt â brêɡ]

Fig. A. Homme avec la coloquinte en bringues.
[avwar la kòlòkêt â brêɡ] (loc. céphal. EXCUS.)
Classée parmi les plus vieilles excuses de l’humanité pour ne pas accomplir quelque tâche qui soit selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la céphalée a pu bénéficier d’expressions pas piquées des hannetons avant de finir en un simple et moderne « j’ai mal à la tête ».Avoir le nerf flapi [avwar le nèr flapi]

Fig. A. Le fringant Godefroy de Bouillon.
[avwar le nèr flapi] (loc. moral. DÉPRES.)
Il peut arriver même au plus preux des chevaliers de flancher.
Faire patatrot sur le grand trimard [fèr patatro syr le ɡrâ trimar]

Fig. A. Roulements de tambours sur le chemin périlleux. Allég.
[fèr patatro syr le ɡrâ trimar] (loc. fatal. MUR.)
La vie n’étant pas un long fleuve tranquille comme le veut l’adage populaire, il lui arrive de cahoter, de brinquebaler, d’aller de mal en pis, voire de foncer droit dans le mur.Prendre le coup de l’étrier [prâdr le ku de létrijé]

Fig. A. Un petit dernier pour la route.
[prâdr le ku de létrijé] (loc. alcool. CHEV.)
Entre boire et conduire il n’a pas toujours fallu choisir.
Être Doublepatte et Patachon [ètre dublepat é pataSô]

Fig. A. Doublepatte et Patachon.
[ètre dublepat é pataSô] (loc. comp. KIF-KI.)
Fy et Bi ont eu leur petit succès au temps suranné du cinéma muet.
