
Fig. A. Cousin Bidard gagnant au bandit manchot.
[ètre kuzê avèk bidar] (expr. famil. LOT.)
Ma famille compte un nombre si important de ramifications qu’il m’est aujourd’hui encore impossible de toutes les connaître. Notez que je ne m’en plains pas. Découvrir régulièrement un vieux cousin, une grande-tante ou un aïeul vivant autorise à ne pas trop vieillir et à toujours se prendre pour un enfant. Et faire des acrobaties sur les basses branches de son arbre généalogique, pas très loin du sol, permet de ne pas se faire mal en cas de chute.



