
Fig. 1. Métamorphoses, ou L’Âne d’or. Apulée, IIᵉ s.
[le ku de pjé de lan] (loc. n. HI-HAN.)
Décidément notre fabuliste national Jean de la Fontaine est un pourvoyeur efficace d’expressions désuètes : c’est à nouveau à lui que la langue doit celle que voilà.
À lui et aussi à Caius Iulius Phaedrus dit Phèdre, autre fabuliste qui vécut à cheval sur les années avant et après JC ce qui n’est guère commode pour lui donner un âge¹.




