[arété sô Sar] (loc. exag. PEPLU.)
Les historiens sont unanimes : Judah Ben-Hur n’a jamais existé.
Les historiens sont unanimes : Judah Ben-Hur n’a jamais existé.
— Mon cher Robert, j'ai peut-être pas dépassé Pithiviers mais j'ai quand même la classe à Dallas.
Qui a vu du pays sait que les conventions du salut diffèrent selon les latitudes.
Entre l’inclinaison du buste et le bisou esquimau, entre le viril serrage de louche et les deux, trois, quatre bises effleurantes ou sonnantes et mouillées il y a de sensibles différences qu’il faut appréhender pour éviter le quiproquo.
Alors qu’il n’y avait a priori aucune raison de remettre en cause l’innocence d’une sage tête blonde s’escrimant à contredire la loi sur l’équilibre d’un corps en mouvement, en l’occurence celui de sa toupie de fer blanc, la langue surannée a tenu à mettre son grain de sel dans la partie.
Bien entendu qu’on a chanté les Parisiennes, leur petit nez et leurs chapeaux. Et plus d’une fois. Évidemment qu’on a chanté les Madrilènes qui vont aux arènes pour le toréro. Tout comme les Norvégiennes, filles du Nord qui ont le sang chaud¹.
— Écoute mon p'tit Ignace, dans la vie il y a ceux qui ont attrapé la queue du Mickey, et il y a les autres...
C’est précisément le jeudi 2 avril 33 après un dernier souper demeuré historique que faire le bon apôtre va surgir comme expression d’un comportement pour le moins déplacé puisqu’il consiste à se comporter en traître.
Bertrade de Laon, plus connue sous le sobriquet de Berthe au grand pied¹ depuis la parution de Li roumans de Berte aus grans piès, poème du ménestrel Adenet le Roi relatant sa vie, n’imaginait certainement pas que sa maîtrise du fuseau et de la quenouille contribuerait à créer une expression par essence surannée puisqu’elle se réfère au bon vieux temps.